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18 mars 2012 7 18 /03 /mars /2012 18:19

 

 

Après quelques mois de dur labeur nous allons pouvoir vous présenter LE VISTEUR le 31 mars 2012 à Chevannes.

 

VENEZ NOMBREUX CAR CETTE PIECE NE VOUS LAISSERA PAS INDIFFERENT, IL TRAITE D'UN MOMENT SOMBRE DE NOTRE HISTOIRE RECENTE SOUS UN ANGLE POUR LE MOINS ETONNANT LISEZ PLUTÖT :

  

  

  

 

  

  

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LE VISITEUR D’ERIC-EMMANUEL SCHMITT

Éric-Emmanuel Schmitt, né le 28 mars 1960 à Sainte-Foy-lès-Lyon en France, est un dramaturge, nouvelliste, romancier et réalisateur franco-belge.

-Biographie-

Jeunesse

Le père d'Éric-Emmanuel Schmitt était kinésithérapeute, son grand-père était artisan et sa grand-mère femme au foyer.

Dans l'édition « Classiques & contemporains » de La Nuit de Valognes, il est déclaré que Schmitt se peint lui-même comme un adolescent rebelle, ne supportant pas les idées reçues et parfois victime d'accès de violence. Mais selon lui, la philosophie l'aurait sauvé en lui apprenant à être lui-même et à se sentir libre.

Un jour, sa mère l'emmène voir une représentation de Cyrano de Bergerac avec Jean Marais. L'enfant est bouleversé jusqu'aux larmes et le théâtre devient sa passion.

Il se met alors à écrire. Il dira plus tard : « À seize ans, j'avais compris – ou décidé – que j'étais écrivain, et j'ai composé, mis en scène et joué mes premières pièces au lycée. » Pour améliorer son style, il se livre avec fougue et ferveur à des exercices de réécritures et de pastiches, en particulier de Molière.

Formation

Après une khâgne au lycée du Parc, Schmitt réussit le concours d'entrée de l'École normale supérieure. Il y étudie de 1980 à 1985 et en sort agrégé de philosophie. Sa thèse de doctorat, soutenue en 1987, a pour titre « Diderot et la métaphysique ». Elle sera publiée en 1997 sous le titre « Diderot ou la philosophie de la séduction ».

Carrière

Schmitt enseigne un an au lycée militaire de Saint-Cyr pendant son service militaire, puis trois ans à Cherbourg et à l'université de Chambéry.

Durant les années 1990, ses pièces de théâtre lui apportent un succès rapide, dans plusieurs pays. La première, la Nuit de Valognes, a été créée en septembre 1991 à l'Espace 44 à Nantes. Sa deuxième pièce, le Visiteur, obtient trois prix lors de la Nuit des Molières 1994. Il décide alors de se consacrer entièrement à l'écriture et quitte son poste de maître de conférence en philosophie.

En 1997 est créée Variations énigmatiques, avec Alain Delon et Francis Huster comme acteurs principaux. En 1998, Frédérick ou le boulevard du crime est créée simultanément en France et en Allemagne, Jean-Paul Belmondo jouant dans la mise en scène originale au théâtre Marigny. En 2001, la pièce Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran est jouée et publiée en même temps en France et en Allemagne. En 2004, le livre a été vendu à plus de 250 000 exemplaires en France et 300 000 en Allemagne.

Schmitt a aussi écrit trois pièces en un acte, en général pour des causes humanitaires. Francis Huster joue le diable dans l'École du diable, que Schmitt a écrite pour une soirée spéciale d'Amnesty International. Mille et une vies a été écrite pour l'opération La culture ça change la vie du Secours populaire.

Au début des années 2000, il compose plutôt des romans et des nouvelles. L'Évangile selon Pilate, publié en 2000, est un succès critique et de ventes sur un sujet touchant à l'histoire de Jésus-Christ. L'année suivante, Schmitt délivre un autre roman sur un personnage historique sujet à débat ; la Part de l'autre est une uchronie dans laquelle Adolf Hitler aurait réussi à entrer à l'École des beaux-arts de Vienne : son avenir et celui du monde en changent du tout au tout. Il écrit ensuite une variation fantaisiste et satirique sur le mythe de Faust Lorsque j'étais une œuvre d'art (2002).

Les récits de son Cycle de l'Invisible ont rencontré un immense succès aussi bien en francophonie qu'à l'étranger, aussi bien sur scène qu'en librairie. Milarepa sur le bouddhisme, Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, déjà cité, sur le soufisme, Oscar et la Dame rose sur le christianisme, L'Enfant de Noé (2004) sur le judaïsme, Le sumo qui ne pouvait pas grossir (2009) sur le bouddhisme zen, sont lus par des millions de lecteurs de toutes les générations.

À la recherche de nouveaux modes d'expression, il publie une autofiction, Ma vie avec Mozart, simultanément dans 8 pays, de la Corée à la Norvège. Cette symbiose de paroles et musique sera portée en scène par des comédiens et solistes. Dans la veine du premier film qu'il écrit et réalise, l'auteur nous propose un recueil de nouvelles : Odette Toulemonde et autres histoires célèbre la femme et sa quête du bonheur. Comme le livre, le film Odette Toulemonde fera le tour d'Europe. La Rêveuse d'Ostende suivra fin 2007 pour rendre un bel hommage au pouvoir de l'imagination. Un troisième recueil paraît en 2010 : Concerto à la mémoire d'un ange. Quatre histoires qui creusent cette question : sommes-nous libres ou subissons-nous un destin ? Pouvons-nous changer ?

Retour au roman en 2008 avec la publication d'Ulysse from Bagdad. Éric-Emmanuel Schmitt montre une fois de plus ses talents de « conteur caméléon » (dixit Fabienne Pascaud dans Télérama) en racontant l'exode d'un de ces millions d'hommes qui, aujourd'hui, cherchent une place sur la terre : un clandestin. Épopée picaresque de notre temps qui interroge la condition humaine. Les frontières sont-elles le bastion de nos identités ou le dernier rempart de nos illusions ?

Passionné de musique, et notamment de Mozart, Schmitt a touché à l’opéra avec la traduction en français de deux de ses œuvres : les Noces de Figaro et Don Giovanni. Il a également composé des musiques et réalisé un CD.

Désormais, tout en continuant l'écriture romanesque et théâtrale, il se consacre à l'écriture cinématographique. Après Odette Toulemonde (2007), une comédie sur le bonheur avec Catherine Frot et Albert Dupontel, il adapte Oscar et la Dame rose (2009), avec notamment Michèle Laroque, Max von Sydow, Amira Casar, Mylène Demongeot.

Schmitt est un des auteurs francophones contemporains les plus lus et les plus représentés au monde. Il a été traduit en 40 langues et joué dans plus de 50 pays[1].

Installé à Bruxelles depuis 2002, il a obtenu la naturalisation belge en 2008[2].

En janvier 2012, Eric-Emmanuel Schmitt annonce qu’il prend la direction du Théâtre Rive-Gauche en association avec le comédien Bruno Metzger et avec l’auteur et metteur en scène Francis Lombrail. Après des travaux de rénovation et d’embellissement, le Théâtre Rive-Gauche accueillera des créations contemporaines à partir du mois de septembre.

 

Le Visiteur : quelques éléments à propos de cette pièce de théâtre de l'auteur français Éric-Emmanuel Schmitt.

 

  

 Photo 091 

  

  

Une nuit, quelques semaines après l'Anschluss, alors que les troupes allemandes défilent dans Vienne dont elles prennent possession, un docteur Sigmund Freud inquiet reçoit un étrange visiteur habillé en dandy. Il va prétendre être Dieu.

En recréant le contexte de Vienne en 1938, Schmitt place le célèbre psychanalyste dans un débat intérieur : croit-il encore en Dieu ? Avec de tels événements, Dieu existe-t-il ? Comment protéger sa fille Anna d'un officier nazi bien entreprenant ? Et ce « visiteur », qui est-il ? Cette pièce est une théodicée (définition de ce mot selon le dictionnaire « Lettré »

nf (té-o-di-sée)

*                               1Justice de Dieu.

Partie de la théologie naturelle qui traite de la justice de Dieu, et qui a pour but de justifier sa providence, en réfutant les objections tirées de l'existence du mal. Le plus grand ouvrage de M. Leibnitz, qui se rapporte à la théologie, est sa Théodicée, imprimée en 1710 ; on connaît assez les difficultés que M. Bayle avait proposées sur l'origine du mal, soit physique, soit moral. [Fontenelle, Leibnitz.] Toute la théodicée de Leibnitz ne vaut pas une expérience de Nollet. [Voltaire, Mél. litt. à M***.] Personne au monde ne respecte et n'admire plus que moi le grand Leibnitz ; sa Théodicée est un de mes livres de dévotion. [Bonnet, Oeuv. mél. t. XVIII, p. 43, dans POUGENS]

*                               2Abusivement, dans le langage de l'école éclectique moderne, partie de la philosophie qui traite de l'existence et des attributs de Dieu, de ses rapports avec l'homme. )rechercher

, un essai de justifier l'existence du mal malgré l'existence de Dieu.

Après une première le 23 septembre 1993 (soit, par coïncidence, la journée du décès de Sigmund Freud; date qui est aussi mentionnée dans la pièce), la pièce mit du temps à obtenir du succès. Le texte est finalement la plus forte vente pour le théâtre contemporain avec plus de 40 000 exemplaires vendus. La pièce a reçu trois prix lors de la Nuit des Molières 1994 : meilleur auteur, révélation théâtrale et meilleur spectacle.

Elle a été adaptée en téléfilm pour la chaîne arte. En 2002, l'éditeur Magnard a publié une édition commentée à destination du public lycéen français (édité par Catherine Cassin-Pellegrini) ; cette édition signale par exemple les liens entre les répliques de la pièce et le contexte historique, et la psychanalyse de Freud.

Elle est reprise cette année (suite au succès de l'an passé) à l'Espace 44 à Lyon.

Afin d’en savoir plus sur Freud et les 2 sujets essentiels abordés dans cette Pièce à savoir Dieu et le Nazisme je me suis permis très modestement de vous apporter quelques éléments d’éclairage tirés de Wikipédia.

A propos de Sigmund Freud

Né Sigismund Schlomo Freud le 6 mai 1856 à Freiberg, Moravie (Autriche, aujourd'hui Příbor, en République tchèque), et mort le 23 septembre 1939 à Londres (Royaume-Uni), est un médecin neurologue juif autrichien, pionnier de la psychanalyse.

Médecin viennois, Freud rencontre plusieurs personnalités importantes pour le développement de la psychanalyse, dont il est le principal théoricien. Son amitié avec Wilhelm Fliess, sa collaboration avec Josef Breuer, l'influence de Jean-Martin Charcot et des théories sur l'hypnose de l'École de la Salpêtrière vont le conduire à repenser les processus et instances psychiques, et en premier lieu les concepts d'inconscient, de rêve et de névrose puis à proposer une technique de thérapie, la cure psychanalytique.

Freud regroupe une génération de psychothérapeutes qui, peu à peu, élaborent la psychanalyse, d'abord en Autriche, en Suisse, à Berlin, puis à Paris, Londres et aux États-Unis. En dépit des scissions internes et des critiques émanant de certains psychiatres, notamment, et malgré les années de guerre, la psychanalyse s'installe comme une nouvelle discipline des sciences humaines dès 1920. Freud, menacé par le régime nazi, quitte alors Vienne pour s'exiler à Londres, où il meurt en 1939.

La « psycho-analyse », dont le terme apparaît en 1896, repose sur plusieurs hypothèses et concepts élaborés ou repris par Freud. La technique de la cure, dès 1898 sous la forme de la méthode cathartique, avec Josef Breuer, puis le développement de la cure type, est le principal apport de la psychanalyse. L'hypothèse de l'inconscient approfondit la représentation du psychisme. Des concepts, comme ceux de refoulement, de censure, de narcissisme, de Moi et d'idéal du Moi, ou davantage métapsychologiques comme les pulsions, la première topique et la seconde topique, le complexe d'Œdipe ou l'angoisse de castration, entre autres, vont, peu à peu, développer et complexifier la théorie psychanalytique, à la fois « science de l'inconscient », selon Paul-Laurent Assoun et savoir sur les processus psychiques et thérapeutiques.

A propos de DIEU

Considéré comme un nom propre dans la langue française[1], le nom « Dieu » avec une majuscule [], désigne « un être suprême, transcendant, unique et universel, créateur et auteur de toutes choses, principe de salut pour l'humanité qui se révèle dans le déroulement de l'histoire »

 Pour les théologiens des religions monothéistes, Dieu est une entité suprême, unique, immatérielle, transcendante, créatrice unique de toute chose et d'une perfection absolue. Ces religions lui attribuent les caractères d'infini, d'omniscience, d'éternité, d'omnipotence et de démiurgie. C'est avec le Livre des Sentences de 1152 de Pierre Lombard que la théologie prend le pas dans le christianisme au moins sur les écritures. Cet ouvrage aura une influence considérable non seulement sur l'université de Paris en cours de constitution mais également sur l'ensemble du monde universitaire européen. Il suscitera une série de débats portant notamment sur la question de la toute-puissance divine qui impliqueront des philosophes et des théologiens tels que Thomas d'Aquin, Duns Scot, Guillaume d'Ockham, plus tard Martin Luther. Débats qui éclairent les façons divergentes de penser le monde qu'on trouvera plus tard chez René Descartes, Spinoza et Leibnitz.

A propos du Nazisme

 

Le nazisme, ou national-socialisme (en allemand : Nationalsozialismus), est l'idéologie politique du NSDAP, parti politique fondé en Allemagne en 1920 et dirigé par Adolf Hitler. Le nazisme est le seul type de fascisme incorporant à la fois racisme biologique et antisémitisme. Cette vision du monde divisait hiérarchiquement l'espèce humaine en races, hiérarchie au sommet de laquelle se situait la « race aryenne ». Par extension, le terme nazisme désigne le régime politique inspiré de cette idéologie, dirigé par Adolf Hitler de 1933 à 1945 et connu sous les noms de Troisième Reich et d' « Allemagne nazie ».

En tant que sujet de science politique, la définition du nazisme divise les historiens. En particulier, reste ouverte la question de savoir si le nazisme ne fut que l'une des formes du fascisme ou, parce qu'ayant fait du racisme une doctrine d'État, le nazisme doit être considéré comme un phénomène historique unique. En effet, l'antisémitisme officiel du régime nazi, dès 1933, l'élimination des handicapés et la persécution des opposants, des homosexuels, des Gitans, etc. se concrétisèrent par l'installation, dès 1933, des premiers camps de concentration en Allemagne. Cette politique ne fit que s'amplifier jusqu'à 1945. Ainsi, plus de dix millions de personnes périrent dans les camps de concentration et d'extermination nazis, dont une majorité de Juifs (voir Shoah).

L'acronyme « nazisme » est la contraction de « national-socialisme » (Nationalsozialismus en allemand). En effet, le « national-socialisme » se veut distinct du « socialisme international », c'est-à-dire des mouvements socialistes internationalistes, d'inspiration marxiste ou non, tels que l'Internationale socialiste ou l'Internationale communiste, dont la vocation « antipatriotique » était à l'opposé du nationalisme pangermaniste hitlérien. L'idéologie nazie se distingue également d'autres doctrines nationalistes de l'époque comme, en France, le « socialisme national » de Maurice Barrès, qui disait combiner nationalisme et « socialisme », mais rejetait les théories racistes du nazisme allemand[réf. nécessaire].

Le fameux Programme en 25 points, programme politique du nazisme, fut exposé pour la première fois dans une réunion publique le 24 février 1920 à la Hofbräuhaus de Munich (célèbre brasserie pourvue d'une vaste salle propice aux réunions politiques et qui existe toujours) par Adolf Hitler lui-même. Dans ce programme, Hitler exige l'abrogation du traité de Versailles et il exclut les juifs de la citoyenneté allemande. Suite à cette assemblée fondatrice, le DAP (Deutsche Arbeiter Partei, Parti ouvrier allemand) prendra désormais le nom de NSDAP (National Sozialistische Deutsche Arbeiter Partei, Parti national-socialiste des travailleurs allemands) : le parti nazi est né[réf. nécessaire].

En 1925 (soit, plus de quatre ans après, un coup d'État manqué et plusieurs séjours en prison après la proclamation initiale), Adolf Hitler publie Mein Kampf (Mon Combat) (à la fois autobiographie, idéologie et programme politique), ouvrage écrit en prison, et qui deviendra le texte de référence du nazisme. La thèse selon laquelle le national-socialisme n'était rien d'autre, en somme, qu'un hitlérisme[7], est fort discutée. Néanmoins l'opportunisme politique sera, dès le début de sa carrière, une constante dans les discours et écrits d'Adolf Hitler. L'historien britannique Ian Kershaw, auteur d'une imposante biographie d'Hitler montre ainsi que l'apparition de certaines expressions ou concepts pourtant propres au discours hitlérien (par exemple le slogan Lebensraum, soit : espace vital) sont assez tardives. Et c'est Hitler lui-même qui rappellera que ce n'est qu'en juin 1919 que les cours d'économie de Gottfried Feder sur « l'esclavage par l'intérêt » fournirent le levier qui lui manquait pour animer un véritable parti politique : « Après avoir écouté le premier cours de Feder, l'idée me vint aussitôt que j'avais trouvé le chemin d'une condition essentielle pour la formation d'un nouveau parti[8]. »

Peu après l'accession d'Hitler à la Chancellerie le 30 janvier 1933, les autres partis politiques sont progressivement éliminés ou interdits. Le 14 juillet 1933, le NSDAP devient un parti unique en Allemagne et le restera jusqu'à la chute du Troisième Reich en mai 1945[réf. nécessaire].

 

 

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Nathalie(Anna),Marc(Freud),Dorothée(Le Nazi) En répétition avec nos superbes décors

 

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                                                             FREUD ON A L'IMPRESSION DE VOIR SON SOSI

 

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.......... " vous ne me croiriez pas et ce n'est pas ce jouet qui vous y aidera;

 

causons voulez vous ?" ..........

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Philippe(le Visiteur) et Marc (Freud)

 

Voici donc quelques éléments de cette nouvelle interprètation Vous aurez d'autres nouvelles prochainement. Mais venez nombreux nous voir car vous ne regretterez pas !!!!

 

 

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